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Top 3 des astuces pour un partenariat réussit

Top 3 des astuces pour un partenariat réussit
Pour avoir une relation au top avec ses partenaires, quelques astuces peuvent être employées. Que ce soit dans le cadre d’un partenariat public-privé ou d’un partenariat commercial, les principes et les buts sont les mêmes. Quel que soit les types de partenariat : éducatif, commercial, à but non-lucratif, la relation entre les partenaires doit suivre une logique. Que vous soyez enseignant-chercheur, commercial ou influenceur, pour avoir de bonnes relations avec vos partenaires dans le monde, quelques astuces sont de mise.

Pour avoir une relation au top avec ses partenaires, quelques astuces peuvent être employées. Que ce soit dans le cadre d’un partenariat public-privé ou d’un partenariat commercial, les principes et les buts sont les mêmes. Quel que soit les types de partenariat : éducatif, commercial, à but non-lucratif, la relation entre les partenaires doit suivre une logique. Que vous soyez enseignant-chercheur, commercial ou influenceur, pour avoir de bonnes relations avec vos partenaires dans le monde, quelques astuces sont de mise.

Le partenariat

Pour définir simplement le partenariat, c’est une association de deux ou plusieurs personnes, d’une entreprise avec un corps de métiers, où toutes les parties prenantes sont en attente des contreparties amenées par la relation. Même le mécénat (qui consiste à offrir une aide sans contrepartie directe) est une forme de partenariat.

Les partenariats sont créés pour plusieurs raisons, que ce soit pour soutenir l’innovation, pour chercher un projet innovant, ou apporter un souffle à une réputation (partenariat marketing), elles existent pour que tous y trouvent  un avantage.

Les types de partenariats sont multiples, variés et touchent de nombreux domaines. Elles peuvent être d’envergure départementale, nationale, ou internationale.  Voici une liste non exhaustive des partenariats les plus courants.

  • Partenariat commercial : des prestataires (commerciaux, blogueurs, influenceurs, etc.) sont engagés pour faire monter les ventes.
  • Partenariat technologique : des équipes de recherche sont recrutées par des laboratoires, ou des entreprises pour mener des investigations dans le domaine des nouvelles technologies.
  • Partenariat industriel. Se traduit en général par des appels à projets, afin de sélectionner un projet ou des candidatures intéressants. Bien évidemment, un comité de sélection doit être mis en place pour sélectionner le lauréat.
  • Partenariat scientifique. Les exemples les plus concrets sont dans l’enseignement supérieur.             Qu’importe les filières (Chimie, Économie sociale, Socio, Agro, BTP ou autres), les enseignants-chercheurs sont contraints de fournir un quota de publication scientifique annuel.
  • Mécénat. C’est une association  où l’une des parties offre une aide financière, mais où une contrepartie non fiduciaire ni financière est attendue. En général, c’est de la bonne publicité qui est attendue ou une meilleure réputation.

L’on peut citer comme exemple de mécénat une levée de fonds pour les financements des constructions d’Ehpad et d’écoles pour des Personnes en situation de handicap. Les mécènes ou les  donateurs apportent leurs aides financières en échange d’une bonne visibilité.

Qu’importe le type de partenaire : un freelanceur, un blogueur, un acteur ou autre, les soutiens internationaux  sont toujours les plus prisés. L’on peut d’ailleurs voir sur des sites spécialisés comme https://www.reflexiondz.net/ des astuces utiles pour la gestion d’une entreprise ou d’un partenariat.

Les 3 astuces clés pour bon un partenariat 

Une relation, qu’importe la nature, doit être bien définie, sans laissé-pour-compte pour qu’elle puisse durer et être agréable.

Un partenariat doit être bien défini

Pour un partenariat réussit, il faut connaître à l’avance l’implication de la collaboration.

L’influenceur par exemple doit rapporter des clients à l’entreprise. L’entreprise donne une rémunération en contrepartie de l’adhésion des suiveurs de l’influenceur, qui sont les cibles directes pour le produit ou service proposé par l’entreprise.

Les stagiaires travaillent de manière presque bénévole pour avoir de l’expérience et plus de chance pour une insertion professionnelle (recrutement ou sélection d’un dossier de candidature pour un poste). 

Un partenariat doit être de type Win-Win

Quel que soit le type de collaborations, et même dans les relations amoureuses, être gagnant-gagnant est primordial. 

Pour le domaine éducatif par exemple, un doctorant donnera de la visibilité à ses partenaires lors de ses communications et lors de la soutenance de sa thèse, tandis que le partenaire paiera les différentes dépenses liées à ses déplacements (bourses de mobilité pour un atelier, ou un colloque) selon les termes de la convention partenariale.

Une activité à but non lucratif a besoin de fond pour se faire, et un sponsoring restera toujours une option.  Les entreprises mal vues (les plus pollueurs) ont intérêt à se faire de la bonne publicité, et les organismes même si elles sont à but non lucratif, ont intérêt à trouver un soutien financier  pour remplir le cahier des charges.

Une Communication fluide et des valeurs communes

La communication, que ce soit au sein d’un couple ou de partenaire est la pierre d’attache pour un futur en commun. Un partenaire de l’entreprise doit donc être au courant de ses buts, de ses stratégies, et des moyens dont l’entreprise est en possession.   

Mais qu’importe le type partenariat engagé, avoir des valeurs en commun comme le soutien ou l’empathie envers une cause commune est une clé pour que la confiance s’installe. De plus, avec des buts ou des causes communes entre les partenaires, il est plus facile d’avoir confiance et de communiquer.

Avoir un futur commun

Qu’importe les programmes de partenariat contractés, il faut, comme en amour, entretenir la flamme et avoir un ou plusieurs objectifs communs. 

Travailler avec des partenaires implique le besoin d’une bonne synergie. Les partenaires sélectionnés doivent regarder dans la  même direction que l’entité, que ce soit une  personne publique (Ministère de l’Éducation Nationale, Collectivité territoriale ou autre), un membre de la société civile (ONG ou autres associations), ou une entreprise.

Pour voir si votre partenariat a encore un avenir, il faut : 

  • faire un bilan ;
  • voir si les affinités sont encore présentes ;
  • redéfinir les priorités ;
  • se rendre compte de ce que chacun a encore à gagner avec le partenariat (Win-Win).